Comment Instants Web Agency s’appuie sur le Domain-Driven Design (DDD) pour concevoir des applications plus stables, plus évolutives et alignées sur votre métier.
Le DDD place le domaine métier au centre du projet. On structure le code, les modèles et les discussions autour de la réalité de votre activité, plutôt que des contraintes techniques ponctuelles.
Le DDD est une approche de conception logicielle qui consiste à construire le logiciel à partir du métier : vocabulaire, règles, invariants, processus clés. Le code reflète la logique métier plutôt que la technique brute.
Le DDD améliore la compréhension du métier, réduit les malentendus entre équipes et favorise un code plus clair, plus modulaire et plus simple à faire évoluer quand vos besoins changent.
On retrouve notamment :
Non. Même sur un périmètre plus petit, appliquer certains principes DDD (langage ubiquitaire, séparation claire du domaine, bounded contexts) apporte de la clarté et de la robustesse.
Nous commençons par cartographier le domaine, identifier les zones critiques et introduire progressivement des boundaries plus nettes (bounded contexts), sans tout réécrire d’un coup.
Le DDD encourage des frontières nettes entre sous-domaines et un vocabulaire partagé par les équipes métier et techniques. C’est le socle d’un logiciel compréhensible et cohérent.
Un bounded context est une zone du système où un modèle métier et un vocabulaire précis s’appliquent de façon cohérente. On y définit clairement ce qu’un terme signifie, sans ambiguïté.
Ils évitent les modèles “géants” impossibles à maintenir, réduisent les ambiguïtés et permettent de découper l’application en sous-domaines cohérents et autonomes.
C’est un vocabulaire commun utilisé à la fois par les équipes métier et techniques : mêmes mots dans les ateliers, dans la documentation et… dans le code. Il réduit les malentendus et améliore la qualité des modèles.
Nous organisons des ateliers métier, des sessions de clarification, puis nous faisons vivre ce vocabulaire dans les noms de classes, de méthodes, de modules et dans la documentation projet.
Le langage ubiquitaire est vivant. Nous faisons évoluer les modèles, les schémas et le code pour rester alignés avec le métier réel, plutôt que figés sur un état obsolète.
Le design stratégique du DDD aide à décider où mettre l’effort : quels sous-domaines sont “core”, lesquels sont de support ou génériques. L’architecture s’aligne sur ces priorités plutôt que l’inverse.
C’est la partie du DDD qui se concentre sur la vision globale : découpage en sous-domaines, choix des bounded contexts, relations entre les contextes et priorisation des efforts.
Plutôt que d’imposer une architecture “générique”, nous la faisons découler du domaine : contextes séparés, services bien délimités, choix entre monolithe modulaire ou microservices selon le besoin réel.
Le core domain est le cœur de votre métier : ce qui vous différencie vraiment, ce qui crée le plus de valeur. C’est là que nous concentrons le plus d’efforts de conception et de qualité.
Nous définissons des contrats clairs (API, events, data contracts), utilisons des anti-corruption layers si nécessaire, et mettons en place une gouvernance API pour éviter le “couplage en toile d’araignée”.
Avec des contextes bien séparés, un langage clair et une architecture guidée par le métier, il est plus simple de faire évoluer une partie du système sans tout casser. Les refontes deviennent ciblées, pas globales.
Pas de bla-bla. Chaque édition vous donne un tuto rapide, un pattern UI testable et une mini-action SEO à appliquer tout de suite.